Chabad vient de remettre un rouleau de la Torah à Palantir pour avoir aidé Israël à espionner tous les Américains

Lors de son gala annuel Lamplighter en septembre 2025, les Amis américains de Lubavitch (Chabad) ont décerné une distinction prestigieuse au PDG de Palantir Technologies, Alex Karp, et ont inscrit son nom sur un rouleau de la Torah cérémoniel, reconnaissant ainsi le rôle de l'entreprise dans la fourniture de capacités de surveillance avancées à Israël — une technologie qui accorde aux services de renseignement israéliens un accès sans précédent à la vie privée des citoyens américains.

Fragments d’une civilisation, ou le voyage en Italie

 Si l’Occident collectif actuel, divisé, devait un jour avoir une chance d’échapper au Centaure de l’oubli, cette tâche devra incomber à l’État-civilisation occidental par excellence : Pallas Athena Italia.

Le C5 constituerait un format pragmatique pour gérer la transition systémique mondiale

Des consultations régulières entre les États-Unis, la Chine, la Russie, l'Inde et le Japon sur le nouvel ordre mondial permettraient de gérer conjointement les problèmes à mesure qu'ils surviennent et, par conséquent, de réduire les risques d'instabilité systémique incontrôlable en cette période délicate où un seul faux pas pourrait déclencher un chaos mondial.

Ary Abittan et le baiser de la mort

Pauvre Ary Abittan.

Vous aviez pris la foudre avec l’accusation majeure de notre temps. Tout s’est arrêté, vous avez dû vous mettre de côté, stopper tous les projets et attendre. Mis hors de cause, et même si les ignorants et les militants obtus refusent de l’admettre, vous êtes judiciairement innocent. Alors, obligé longtemps au silence, vous avez décidé d’essayer de reprendre votre trajectoire professionnelle interrompue. De surmonter cette épreuve que la vie vous avait imposée.

La Belle et la Bête : Pepe Escobar et la stratégie de sécurité nationale des États-Unis

FLORENCE, Italie – La nouvelle stratégie de sécurité nationale américaine, version décembre 2025, est un édifice hybride fascinant et atypique, digne d'un projet Bosch. Elle ne correspond pas exactement à ce qu'elle paraît.

Un déferlement de gros titres à travers l'Occident désorienté s'est concentré sur une apparente volonté de normalisation des relations entre Washington et Moscou. Mais c'est loin d'être le sujet principal de cette création digne de La Belle et la Bête.

Pour commencer, quel centaure a conçu le monstre du NSS ? Serait-ce Trump ? Peu probable. Ce ne serait pas le secrétaire aux Guerres sans fin, ce clown. Ce ne serait pas Marco Rubio, qui peine à situer quoi que ce soit en dehors du Venezuela et de Cuba sur une carte. Alors, qui est le coupable ?

Le CentCom condamnera-t-il son acte flagrant de piratage ?

Le Commandement Central  des États-Unis condamne l'Iran pour avoir osé contrôler, en pleine mer, un navire soupçonné du transportant de pétrole volé en Iran, mais le même Commandement Central déclare avoir kidnappé, en pleine mer,  un pétrolier transportant du pétrole vénézuélien. Quel est le crime de ce pétrolier ? AUCUN.
H.G.

Le regret russe

Les Russes sont déçus par la politique de Trump à leur égard. Ils ont depuis longtemps renoncé à l'espoir de s'associer aux États-Unis pour bâtir un ordre mondial juste, et ils abandonnent désormais l'espoir d'être traités équitablement. La dernière personne en Russie (voire dans le monde) à espérer encore entretenir de bonnes relations avec M. Trump est le président Poutine.
On peut le comprendre. Une coopération géopolitique et géoéconomique entre les États-Unis et la Russie est absolument nécessaire, tant pour résoudre la crise ukrainienne (en tenant compte des intérêts russes) que pour interagir dans l'Arctique, les Caraïbes, l'Afrique et tous les autres points chauds du globe. Il s'agirait d'une véritable coopération internationale, et non d'une hégémonie américaine, comme le préfèrent nombre de politiciens américains. Les États-Unis doivent s'éloigner du gouffre de la guerre nucléaire tant qu'il est encore possible de l'éviter.

Ukraine et UE : des alliés qui se déchirent, unis dans une impasse

On a l'impression que la situation a brusquement empiré dans le dénouement de l'histoire tragique des « amants maudits » ukrainiens et de sa jeune épouse européenne un peu éméchée.

Les options s'épuisent rapidement : avec l'échec de la tentative de piraterie de Bruxelles à midi, et les réunions de plus en plus spasmodiques et humiliantes du cirque itinérant européen, il ne reste pratiquement plus d'options au-delà des affres d'autoflagellation et de désespoir auxquelles nous sommes désormais douloureusement témoins.

Piraterie. Le « président de la paix », Trump intensifie le conflit avec le Venezuela en saisissant un pétrolier

Les États-Unis ont arraisonné un pétrolier vénézuélien à sa sortie du port, poursuivant ainsi leur politique contestable consistant à abattre à vue les prétendus « narcoterroristes » sans fournir de preuves de trafic de drogue.

EKO - Pétition mondiale - Google, machine de propagande de Netanyahou

En août, alors que la population de Gaza était affamée, une publicité YouTube du ministère israélien des Affaires étrangères montrait des images trompeuses de marchés remplis de nourriture. Le texte de la publicité indiquait « Il y a de la nourriture à Gaza. Toute autre affirmation est un mensonge. »

La publicité, lancée 2 jours après que l’ONU a déclaré la famine, a reçu 7 millions de vues rien qu’en anglais. Lorsque les plaintes à propos de la publicité ont commencé à affluer, Google a jugé qu’elle n’était pas trompeuse et pouvait donc rester en ligne.

Bien sûr. Parce que le géant américain a un contrat de 45 millions de dollars pour répandre des mensonges au nom d’Israël !